« Ancien cadre de la banque suisse Reyl et Cie, Pierre Condamin-Gerbier dénonce l’inertie de l’administration fiscale et du gouvernement dans l’affaire Cahuzac. Il pointe notamment Manuel Valls, qui avait connaissance de son témoignage dès le 21 février. »

Voilà l’information sur laquelle revient cet article de La Tribune. L’affaire Cahuzac est loin d’être terminée, et une fois l’émotion passée, les députés ne semblent pas pressés de faire évoluer radicalement la législation qui leur serait imposée par eux-mêmes…

Charles SANNAT

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