Alors que la Belgique vient d’annoncer que le renflouement de Dexia plombe les comptes de nos amis belges et que cela risque fort en plus de leur couter une amende de Bruxelles pour déficits excessifs (Bruxelles étant en Belgique), c’est au tour de la France d’indiquer que le coût de la recapitalisation de la banque Dexia aura un impact de 0,1% sur le déficit public de notre pays en 2012.

Mais rassurez-vous, le sauvetage des banques ne coute pas un centime au contribuable (vous vous souvenez de cette bonne blague).

Charles SANNAT

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