Encore une bonne nouvelle sur le front de la crise économique avec ce nouveau recul et pas de rebond en vue dans l’immédiat de la consommation des ménages français.
Ce mouvement devrait se poursuivre sans surprise au fur et à mesure que l’austérité (essentiellement via des augmentations d’impôts pour le moment) vient amputer de façon de plus en plus importante le pouvoir d’achat des ménages.
Il ne faut pas oublier que 60 à 70 % du PIB français est réalisé par la consommation des ménages. Si elle baisse trop fortement, cela aura un impact évident sur le taux de croissance… et la décroissance du PIB va s’amplifier mettant à mal les prévisions budgétaires du gouvernement qui devra procéder à de nouveaux tours de vis.
La situation est très préoccupante.
Charles SANNAT