Pour le président letton, les dettes nationales disproportionnées deviennent le principal problème de l’Europe

C’est une évidence que personne ne pourra jamais rembourser les dettes au niveau actuel atteint, ce qui conduit à la question si on ne rembourse pas… c’est qu’à un moment ou à un autre il faudra constater des pertes et cela porte le nom de « défaut de paiement ». Un défaut de paiement est une faillite, ce qui pose la question suivante… Que se passera-t-il en cas de faillite de la France et de tous les autres pays ? Rien de bon évidemment, et les réponses à cette question (que se passera-t-il) font tellement peur, que personne ne veut y penser et tout le monde veut croire que ce ne sera pas le cas.

En réalité, la France est déjà en faillite. Mais nous ne sommes pas les seuls. Regardez le Japon, il masque derrière des pseudo-politiques de relance monétaire tout simplement sa faillite virtuelle.

Préparez-vous, il est déjà trop tard !!

Charles SANNAT
RIGA, 19 novembre (Xinhua) – Les dettes nationales disproportionnées sont devenues le principal problème de l’Europe, a indiqué mercredi le président letton Andris Berzins.

« Tout en refinançant les prêts, les banques ont reçu des actifs qui sont nuisibles. Le fait que la Banque centrale européenne cache cette situation, et essaye de la prolonger, représente une menace pour l’euro et la zone euro », a déclaré M. Berzins, selon l’agence Baltic News Service.

« Cette situation ne pourra pas se prolonger. Je n’ai pas de doute sur le fait que les dettes actuelles ne seront jamais réglées. Il y a des manières douces d’y faire face. L’inflation réduit lentement la dette, mais quand l’inflation est faible, il faudrait chercher d’autres moyens », a-t-il ajouté.

M. Berzins a insisté sur le fait que les pays devraient vivre sans dette. « Le niveau maximal de la dette devrait être zéro », a lancé le président letton.

Il a également mis en garde contre un euro faible. « À une certaine époque, cela paraissait une bonne chose que la valeur de l’euro soit faible, et les exportations allaient mieux à court terme. Mais pour ceux qui sont en déficit, cela représente également un risque accru. Seuls les pays avec des exportations et des importations à l’équilibre peuvent se le permettre », a expliqué M. Berzins.

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